Les médecins étaient très respectés dans la société égyptienne antique, même si selon les normes modernes leur pratique était un mélange de science véritable, charlatanisme et magie superstition tour de passe-passe. Médecins égyptiens antiques ont eu une grande réputation internationale dans leur temps et qu'ils étaient en grande demande par les rois et les princes en dehors des frontières de l'Egypte. Un compte papyrus datant de la période Rammesid raconte une histoire du «Prince de Bakhten" (roi des Hittites) qui a envoyé un appel à Sa Majesté le Roi d'Egypte à cause de Bentrach, sa fille, qui a été frappée par une maladie qui causé ses membres à se crispent violemment. Le Pharaon a gracieusement envoyé un scribe de la «Maison de Vie» à se rendre à Bakhten et assister à la fille du roi hittite.
Médecine égyptienne était du domaine exclusif des prêtres. Les anciens médecins étaient pour la plupart des prêtres de la Serket des dieux, Neith et Ra-Atum. Ils cultivaient des jardins d'herbes pour fournir médicament. Il y avait un temple dédié à la déesse Neith à Sais qui ont une faculté de médecine et un herbier qui a produit diverses herbes et de produits d'origine végétale comme l'huile de ricin, mandragore, l'aneth, le cumin, la corne de cerf et de la coriandre.
Papyrus médicaux de l'ancienne Egypte date de retour à l'Ancien Empire. Les anciens Egyptiens vénéré tradition ainsi la plus ancienne d'un papyrus médical ou une méthode de traitement la plus grande était l'autorité qui lui est attribué.
Quelle est la fiabilité était au service de médecins égyptiens?
Nous savons que les anciens médecins égyptiens étaient rebouteux qualifiés (une pratique encore très développé chez les médecins indigènes dans de nombreuses parties de l'Afrique). Médecins égyptiens antiques avaient une bonne connaissance des herbes antiseptiques et des onguents dont ils se servaient très efficace pour le traitement des plaies et coupures dont ils s'habillaient avec des bandages et des cataplasmes.
Leur plus grande zone de faiblesse était en médecine interne qui, de toute évidence, est resté en grande partie un mystère pour eux. Ici, ils sont revenus à des sorts, formule magique et des incantations. La plupart du temps le service du médecin était plus de menace pour la vie et la santé du patient que sa maladie elle-même. Le dispensaire du médecin comprenait une collection bizarre de produits "pharmaceutiques" comme le sang de lézard, les excréments des crapauds et des grenouilles, des ailes des chauves-souris, escargot viscères et la boue mise au rebut, le lait maternel et le sang menstruel de la vierge.
Ces concoctions maléfiques ont été généralement prises avec des incantations magiques et d'autres des manœuvres bizarres. Il a toutefois pas toutes les ténèbres pour les anciens médecins égyptiens dans le domaine de la médecine interne. Ils étaient conscients de l'importance de la fonction cardiaque. Les historiens ont souvent exprimé leur surprise à l'ignorance de l'égyptien ancien médecin des organes abdominaux comme le foie, les reins et le pancréas, étant donné le développement de l'art et la pratique de l'embaumement dans l'Egypte ancienne. Il a toutefois été souligné que les embaumeurs égyptiens n'étaient généralement pas les médecins et les médecins ne sont généralement pas embaumeurs. L'occasion pour la fertilisation croisée des idées et des connaissances entre les deux professions était limité, pour les professions généralement jalousement gardés leurs connaissances et compétences de laïcs.
Hérodote a commenté la grande préoccupation des anciens Egyptiens pour leur santé. «Ils prennent soin de leur santé avec émétiques et purgatives dont ils utilisent trois jours consécutifs chaque mois et ils croient que tous les maux viennent de nourriture ingérée."
En dépit de leur connaissance limitée des anciens médecins égyptiens soignés à se spécialiser. Selon Hérodote, il y avait des guérisseurs yeux, le ventre et les os. Il y avait des gynécologues spécialisés qui traitent principalement avec des problèmes d'infertilité que les dossiers de la pratique montrent que la plupart des c'était dangereux et que les «gynécologues» pourraient être considérées comme franchement menace pour la santé de leurs patients.
Les anciens Egyptiens ont également été intéressés par la médecine esthétique, comme indiqué par un style papyrus: Book of Transformer une vieille homme dans un jeune homme de vingt.
Médecine égyptienne était du domaine exclusif des prêtres. Les anciens médecins étaient pour la plupart des prêtres de la Serket des dieux, Neith et Ra-Atum. Ils cultivaient des jardins d'herbes pour fournir médicament. Il y avait un temple dédié à la déesse Neith à Sais qui ont une faculté de médecine et un herbier qui a produit diverses herbes et de produits d'origine végétale comme l'huile de ricin, mandragore, l'aneth, le cumin, la corne de cerf et de la coriandre.
Papyrus médicaux de l'ancienne Egypte date de retour à l'Ancien Empire. Les anciens Egyptiens vénéré tradition ainsi la plus ancienne d'un papyrus médical ou une méthode de traitement la plus grande était l'autorité qui lui est attribué.
Quelle est la fiabilité était au service de médecins égyptiens?
Nous savons que les anciens médecins égyptiens étaient rebouteux qualifiés (une pratique encore très développé chez les médecins indigènes dans de nombreuses parties de l'Afrique). Médecins égyptiens antiques avaient une bonne connaissance des herbes antiseptiques et des onguents dont ils se servaient très efficace pour le traitement des plaies et coupures dont ils s'habillaient avec des bandages et des cataplasmes.
Leur plus grande zone de faiblesse était en médecine interne qui, de toute évidence, est resté en grande partie un mystère pour eux. Ici, ils sont revenus à des sorts, formule magique et des incantations. La plupart du temps le service du médecin était plus de menace pour la vie et la santé du patient que sa maladie elle-même. Le dispensaire du médecin comprenait une collection bizarre de produits "pharmaceutiques" comme le sang de lézard, les excréments des crapauds et des grenouilles, des ailes des chauves-souris, escargot viscères et la boue mise au rebut, le lait maternel et le sang menstruel de la vierge.
Ces concoctions maléfiques ont été généralement prises avec des incantations magiques et d'autres des manœuvres bizarres. Il a toutefois pas toutes les ténèbres pour les anciens médecins égyptiens dans le domaine de la médecine interne. Ils étaient conscients de l'importance de la fonction cardiaque. Les historiens ont souvent exprimé leur surprise à l'ignorance de l'égyptien ancien médecin des organes abdominaux comme le foie, les reins et le pancréas, étant donné le développement de l'art et la pratique de l'embaumement dans l'Egypte ancienne. Il a toutefois été souligné que les embaumeurs égyptiens n'étaient généralement pas les médecins et les médecins ne sont généralement pas embaumeurs. L'occasion pour la fertilisation croisée des idées et des connaissances entre les deux professions était limité, pour les professions généralement jalousement gardés leurs connaissances et compétences de laïcs.
Hérodote a commenté la grande préoccupation des anciens Egyptiens pour leur santé. «Ils prennent soin de leur santé avec émétiques et purgatives dont ils utilisent trois jours consécutifs chaque mois et ils croient que tous les maux viennent de nourriture ingérée."
En dépit de leur connaissance limitée des anciens médecins égyptiens soignés à se spécialiser. Selon Hérodote, il y avait des guérisseurs yeux, le ventre et les os. Il y avait des gynécologues spécialisés qui traitent principalement avec des problèmes d'infertilité que les dossiers de la pratique montrent que la plupart des c'était dangereux et que les «gynécologues» pourraient être considérées comme franchement menace pour la santé de leurs patients.
Les anciens Egyptiens ont également été intéressés par la médecine esthétique, comme indiqué par un style papyrus: Book of Transformer une vieille homme dans un jeune homme de vingt.
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